En 1862, paraît son unique roman, Dominique, récit semi‑autobiographique salué pour sa sensibilité et sa psychologie. En 1876, il publie un essai marquant, Les Maîtres d’autrefois, consacré aux peintres flamands et hollandais (Rubens, Rembrandt…), qui marque durablement la critique d’art .

En 1876, sa candidature à l’Académie française échoue et il meurt brusquement le 27 août à La Rochelle.

Eugène Fromentin incarne la rencontre entre deux arts majeurs : peintre orientaliste de grand talent et écrivain sensible et critique éclairé. Son œuvre, diversifiée et riche, marque la peinture du XIXᵉ siècle et pose les jalons d’une critique d’art moderne.

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​​En 1504, sont fondées les "Grandes Écoles" dans deux maisons rue Bazoges. Les locaux devenant insuffisants, le collège s'installe dans le couvent des cordeliers en 1565. L'année suivante, une porte renaissance est construite.
 

Après le siège de la ville, le collège est confié aux jésuites qui acquièrent auprès du futur duc de Saint-Simon une partie de l'actuel Jardin des plantes de La Rochelle qu'ils relient au collège par un passage souterrain voûté. La chapelle, construite sous la direction du frère Mercier, est consacrée le 8 août 1638.

Suite à l'expulsion des jésuites en 1763, le collège est alors confié au clergé séculier jusqu'à sa fermeture en 1792.

Réouvert en 1803, les bâtiments sont reconstruits en 1838, sur des plans de Brossard. Le collège est érigé successivement en collège royal puis national, avant de devenir lycée départemental puis impérial.

La porte sur la rue du collège est remplacée en 1869, la porte renaissance étant alors déposée dans le jardin de la bibliothèque municipale.

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Il a porté successivement les noms de collège municipal, collège de jésuites, collège royal, lycée impérial. Il est baptisé Eugène-Fromentin en hommage au peintre. L'immeuble a été inscrit au titre des monuments historiques  par arrêté du 21 novembre 1969.

En 1974, le lycée redevient collège.